Zlatan Ibrahimovic est arrivé cette semaine dans son nouveau club des Los Angeles Galaxy (MLS). L’occasion de parler de son transfert et de son parcours, qui semble toucher à sa fin.
Un profil à la Beckham
Zlatan suit les traces du légendaire milieu de terrain anglais, certes dans un sens différent: Paris, Manchester, Los Angeles. Beckham, lui, avait parcouru Manchester et Los Angeles avant de terminer sa carrière au PSG. Le lien est donc tout trouvé entre deux joueurs qui auront marqué leur génération par leur charisme et leur talent. Beckham et son élégance, sa classe. Ibra par son tempérament, sa confiance en soi inébranlable.
La MLS plutôt que la Chine
Les deux championnats en devenir sur la planète démontrent la puissance des économies de ces pays; une lutte totale pour le rang de première puissance mondiale. Au niveau du football, c’est aussi le cas, dans la mesure où la MLS et la Ligue Chinoise se livrent une bataille d’attractivité à coup de millions de dollars. Une bataille que la MLS commence lentement à dominer. Le transfert d’Ibra étant un coup de poker supplémentaire réalisé par la ligue américaine, qui avait déjà réussi d’autres jolis coups par le passé avec les transferts de Kaka et de Beckham.
Un dernier défi ?
C’est la question qui reste en suspens; Zlatan va-t-il finir sa carrière à LA ? Va-t-il retourner sur ses terres suédoises ? Beaucoup de destinations restent possibles pour le géant suédois. Ce départ à Los Angeles mettra-t-il fin aux rumeurs selon lesquelles Zlatan pourrait revenir disputer le mondial en Russie avec la Suède ? Pourtant, la décision semble actée pour le sélectionneur suédois et ses supporters; Zlatan aurait terminé son histoire avec la sélection, il doit laisser sa place.
Crédits photo à la Une: Ardfern