Les Jeux Olympiques d’Hiver 2022, qui se tiendront à Pékin (Chine), vont bientôt débuter. Décryptage de cet évènement tant attendu.
Les Jeux Olympiques sont une compétition multisports à échelle mondiale. Ils se tiennent tous les 4 ans et constituent un événement supervisé par le Comité international olympique (CIO). Après la première édition tenue en France en 1924 et toutes celles qui ont suivi, celle de cette année 2022 aura lieu en Chine du 4 au 20 février. Sous un autre volet, un pronostic JO 2022 sur les athlètes attendus ne sera certainement pas vain. De toutes les surprises qu’elle réserve, voici 4 anecdotes que vous ignorez certainement sur ladite édition.
Pékin, la ville chanceuse qui accueille les JO 2022
Pékin, la capitale de la Chine qui abrite cette édition des JO est la ville chanceuse, en ce sens que c’est elle qui a obtenu ces Jeux d’Hiver pour sa toute première candidature. Ipso facto, elle s’est imposée face à la ville d’Almaty.
Les athlètes, la grande attraction
Dans les rangs des athlètes, la préparation se poursuit avec beaucoup d’excitation. Ils sont près de 3000 attendus à Pékin en 2022 et l’on peut affirmer que certains records sont en passe d’être pulvérisés. Ce qu’il faut peut-être indiquer: l’effectif est de 3 000 athlètes s’explique par le fait que nous évoquons ici les JO d’hiver: le nombre de sportifs aurait été bien plus conséquent (10 500) s’il s’agissait des JO d’été.
Une difficile organisation
D’une part, le choix de la ville constitue une première victoire pour le pays organisateur au regard du process. Mais, d’autre part, il faut alors dévoiler que l’organisation en elle-même ne revient pas seulement audit pays. Plutôt, elle relève d’une collaboration entre celui-ci et le Comité international olympique (CIO). C’est une précision que beaucoup ignorent. Par ailleurs, le programme prévu à cet effet est bien achalandé.
De lourdes restrictions sanitaires
L’édition 2020 des JO d’Hiver est synonyme d’importantes et pesantes restrictions sanitaires, à cause de la pandémie de Covid-19. Les participants à l’évènement, athlètes, officiels et journalistes, évolueront tout au long de la compétition dans une « bulle », encore plus drastique que celle des JO de Tokyo l’été dernier. Par « bulle », on parle ici d’une stratégie « zéro Covid », qui consiste à placer les athlètes en quarantaine puis en confinement permanent, à les tester et à les suivre via des applications mobiles. Pas une mince affaire.